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accueil redirection commentaires : 0 - date : 3 février, 2009 - catégorie : non classé en fait, les choses vont apparaitre ici finalement… communion des seins iii commentaires : 0 - date : 29 janvier, 2009 - catégorie : non classé oui… évidemment, il se trouvait dans cette aventure de style dérélictoire (au niveau de ma bobine), il se trouvait aussi un trou-de-cul de hardeux blanc comme un linge et à tatouages maoris signifiant « liberté » hum… enfin je veux dire le mec il se laissait vraiment aller à vivre tranquillou de trop sur le dos de ma dulcinée trompeuse, en dormant dans son lit et plus si affinités, or ils étaient anciens amoureux officiels. mais « (son) canapé-lit dans le salon n’était pas assez confortable pour ce qui était de ce qui relevait de l’épine dorsale ». je me souviens, ça m’a longtemps paru pas louche du tout cette problématique du gars logé nourri blanchi qui en plus dort dans le lit de la propriétaire de l’appartement, je vivais ça assez innocemment. enfin bref, le gars aimait le matin, quand j’arrivais après avoir fait mon hôtelière veille de nuit, à me serrer longuement la main en me regardant avec des étoiles dans ses petits yeux et une sorte de sourire chafouin. reconnaissant il avait l’air, sans rémission. il jouait de la musique dans un groupe, dont j’allais avec elle voir les concerts (en payant une place donc à des scènes ouvertes sans intérêt), et également il écrivait des poèmes de trois ou quatre lignes faisant chacune cinq mots au maximum, et qui s’intitulaient par exemple « 2+2=5′ (radiohead je crois) ou « baise le monde » (là c’est fuzati, j’en suis sûr). il me disait à moi qui était déjà un peu passé par les joyeusetés du grand enfermement psychiatrique, quand on voyait des histoires de meurtres au journal télévisuel de 20h il me disait: « non mais tu sais, on peut très bien tuer quelqu’un sans le vouloir », et ça avait l’air de le faire triper. il possédait un super corps musculeux sec des bras, et elle en tout cas s’adressait parfois à lui en l’appelant « chéri », quand j’étais pas là, et une fois en ma présence aussi mais ce point délicat ne m’a jamais venu fort à la conscience. il était triste, il était pauvre, je le méprisais et elle: « mais c’est ton ami non? » quand j’en avais marre ouvertement qu’ils « dorment » ensemble. finalement, vers la fin de la relation humaine générale feu de l’amour que j’ai entretenu avec cette dulcinée, j’ai reçu d’elle un coup de téléphone, qui ne voulait rien dire, elle voulait contre toute habitude, confirmer simplement si on se verrait le soir. et elle haletait, hoquetait un peu, comme si qu’elle se faisait pilonnée gentiment, dans le style dresde plutôt, entre ici jean moulin. et moi j’ai raccroché en fronçant les sourcils deux secondes, mais sans aller au bout sans vergogne des conclusions à tirer. c’est après, quand on s’est quitté pour du vrai, que ça m’est revenu cet épisode, que ça m’a travaillé le ventre tous les matins et tous les soirs, comment je m’étais fait sucer mon sang d’amoureux dans mon petit coeur tout mou, afin qu’en ce qui concerne mon intégrité morale, ils puissent jouir gaiement de la destruction de mon âme vivante taratata trou-trou. communion des seins ii commentaires : 0 - date : 28 janvier, 2009 - catégorie : non classé hum… oui… en ce qui concerne la relation adultère entre le susmentionné poète et ma susmentionnée dans les billets précédents dulcinée, ça me revient violemment ce destin contre lequel je ne pouvais rien dans ce milieu ambiant terrible sans spiritualité pouët pouët. ils s’habillaient trop bien avec leurs vêtements de friperie par rapport au moyen étudiant dans mon acabit habillé à c&a, il fallait qu’ils me sautent par dessus la bobine afin que de jouir gaiement en me vampirisant le sang d’amoureux pur qui coulait dans mon petit cœur tout mou. je me souviens, adolescent, il avait été serveur comme métier l’été et elle, elle l’était à ce moment pour financer un peu ses études mais surtout pour soigner son c.v. de travailleuse. au niveau de la société, leurs deux systèmes historiaux de vie convergeaient sans rémission par mon truchement vers leur union physico-sentimentale assez peu sentimentale, car ces deux avaient aussi, au cours de leurs existences mondiales dans les temps historiques comme je disais, accumulé moult partenaires et situations, dans tous les sens et giratoirement. bouh bouh les méchants pleins de vice (vice dont les sorbonnards lettreux de nanterre, pour ce qui est de ce qui relève du corps professoral, disent généralement que c’est juste tout gentiment « l’intelligence appliquée au sexe »). enfin bref, il faut le dire et l’avouer et le confesser à la face du monde indifférent, le révolutionnaire professionnel capitaliste de la poésie me l’a outrageusement faite à l’envers, à moi qui suis tout de même par ma qualité de schizophrène un authentique marginal de la société, lui qui par son statut d’ancien de lycée d’élite à la grande ville de paris, de fils de journaleux et de haut-fonctionnaire de l’éduc. nat., de personne qui « depuis toujours sent qu’(il veut) devenir artiste » en gravitant dans des bouillons de culture très très cosmopolites avec psychanalystes, directeurs de musée ou de galerie, et couples aisés homosexuels homophobes quelconques… enfin je veux dire: islamophobes quelconques; moi là donc blette comme chou, et lui qui par son statut dis-je, de fils de cul international, avait tout pour séduire avec facilité l’impressionnable petite-fille de prolétaire (cosmopolite aussi par ailleurs) qui me servait d’officielle. d’où un sérieux problème, un vrai point délicat, en ce qui concerne l’insurrection contre la réalité, contre le réalisme, contre la droite réactionnaire que sais-je encore, même si rien de tout cela ne justifiera jamais oh non le fait qu’au grand marché général du feu de l’amour j’ai, avec toute les cartes de fils de cadre qui m’étaient attribuées à moi aussi, échoué comme une baleine si gravement. la faute est intégralement moralement mienne mienne mienne, je me dois de l’annoncer hautement dans ce rêvé-christique exercice quotidien, entre ici jean moulin, et gros bisous dans ton trou-trou (de lapin). 1 2 3 juillet 2019 l ma me j v s d « fév 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite. / tous les billets de ce blog sont ma propriété exclusive. toute reproduction sans mon autorisation expresse est interdite pouf pouf. liens cliquez ici pour le début, mais après seul le calendrier peut sauver sans fioritures de la chronologie inversée bibliovoresclub | quand tu nous prends... lit... | univers de tungaten | unblog.fr | créer un blog | annuaire | signaler un abus | henzzo | naruto vs sasuke | opinions par andree salibi